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Dominique MONNIER

MARS 2019 - Jude Law

Par Dominique Monnier, mardi 26 février 2019 à 05:44 :: Informations cantonales

VAUDELNAY

Lu dans le Figaro

"Jude Law, 46 ans et Phillipa Coan, 32 ans, se marieront en France au mois de mai, a révélé The Sun, le 24 Février
S'après le quotidien britannique, les détails de la cérémonie ont déjà été réglés et le maire local consolidera l'union du couple.
Si l'on ignore encore l'endroit exact où se déroulera la cérémonie, celle-ci pourrait être organisée près du domicile de Peter et Maggie, les parents de Jude Law, dans le village angevin de Vaudelnay.
Une soirée en l'honneur des mariés devrait conclure les festivités."



Jude Law

Sa carrière (Lu sur Wikipédia)

"Jude Law ressent très tôt l'envie de monter sur scène, encouragé par ses parents (tous deux enseignants) qui l’emmènent régulièrement voir des pièces de théâtre. C’est ainsi qu’à l'âge de 12 ans, il s'inscrit au National Youth Music Theatre, une compagnie spécialisée dans les comédies musicales interprétées par des adolescents, ce qui lui permettra de jouer dans de nombreux spectacles. Il abandonne l'école à 17 ans pour jouer dans le soap opera télévisé Families, mais il revient assez vite au théâtre.
Alors qu’il joue en 19942 dans une version des Parents terribles de Cocteau, il est nommé dans la catégorie meilleur espoir aux Laurence Olivier Awards (récompenses de théâtre britanniques). La pièce va jusqu’à Broadway, où Jude Law sera là-aussi nommé dans la même catégorie aux Tony Awards (récompenses de théâtre américaines).
Du côté du cinéma, il obtient en 1992 un rôle principal dans un premier film anglais, Shopping, l'histoire de voyous qui font des rodéos avec des voitures volées avant de les fracasser dans des vitrines de magasins. Le film n'est pas un succès mais lui permet néanmoins de rencontrer l’actrice qui deviendra sa première femme et la mère de trois de ses enfants, Sadie Frost.
Ascension
En 1997, sa carrière prend son essor avec la sortie de films anglais et surtout américains.
Dans le film de science-fiction Bienvenue à Gattaca avec Ethan Hawke, il joue un ex-champion de natation arrogant qui malgré son matériel génétique parfait n’a obtenu que des médailles d’argent avant de devenir handicapé et amer.
Dans le film Wilde, biographie anglaise de l'écrivain avec Stephen Fry dans le rôle-titre, il joue Bosie Douglas, l'amant insupportable et difficile à vivre d'Oscar Wilde. Moins notoire, Jude Law joue un bref rôle de gigolo perturbé et enragé dans Minuit dans le jardin du bien et du mal, réalisé par Clint Eastwood. Il joue un rôle principal de vampire dans le peu connu La Sagesse des crocodiles.
En 1999, on le retrouve encore dans un film fantastique, eXistenZ réalisé par Cronenberg avec Jennifer Jason Leigh, une histoire où les personnages sont perdus dans la réalité virtuelle d’un jeu vidéo. La même année, il est nommé à l’Oscar du second rôle masculin pour Le Talentueux Mr Ripley, dans lequel il joue un jeune homme riche qui mène la belle vie avec l’argent de ses parents, face à Matt Damon qui joue Ripley le désargenté.
Jude Law au Festival international du film de Toronto en 2007.
En 2001, Jean-Jacques Annaud lui offre le premier rôle dans Stalingrad, l'histoire d’un sniper russe dont la propagande fera un héros, avec Ed Harris en nazi et Rachel Weisz. Puis Steven Spielberg le choisit pour jouer un robot-gigolo dans A.I. Intelligence artificielle, avec Haley Joel Osment, film qui lui vaudra une nouvelle nomination aux Golden Globes.
En 2002, Jude Law joue un second rôle de tueur à gage glacial et psychopathe dans Les Sentiers de la perdition avec Tom Hanks et Paul Newman. Ce rôle complète la série de rôles pas évidents qu’il semble privilégier afin de ne pas être cantonné à des emplois de jeune premier.
Puis il tourne un autre film d’Anthony Minghella, Retour à Cold Mountain. Dans ce film typiquement hollywoodien, il joue un soldat confédéré qui déserte pendant la guerre de sécession et entreprend le difficile voyage de retour vers son village où l’attend une femme (Nicole Kidman) avec qui il n’a échangé qu’un seul baiser. Tom Cruise avait un temps envisagé de tenir le rôle. Law touche 10 millions de dollars pour ce film.
En 2004, il est de tous les plans dans Irrésistible Alfie, un dragueur invétéré qui raconte sa vie au spectateur en dirigeant son regard vers la caméra ; le film ne sera pas vraiment un succès. Il joue aussi le rôle-titre dans le film rétro-futuriste Capitaine Sky et le Monde de demain. Il tourne dans Closer, entre adultes consentants aux côtés de Julia Roberts, Clive Owen et Natalie Portman, film sur la complication des rapports homme-femme. Cette même année, du fait de son exposition médiatique, le magazine américain People lui décerne sa distinction annuelle de « Sexiest Man Alive » (« Homme vivant le plus sexy »).
Star internationale
En 2006, Jude Law joue dans The Holiday, une comédie romantique avec Cameron Diaz, Kate Winslet et Jack Black. Dans My Blueberry Nights de Wong Kar-wai, il joue le propriétaire d’un café à New-york qui console une cliente en plein chagrin d’amour (Norah Jones), avant d’en tomber amoureux et d'espérer son retour, celle-ci partant au loin à l'aventure pour oublier sa précédente rupture. Puis il tourne dans Le Limier, un affrontement psychologique joué seulement par deux acteurs, Michael Caine et lui, à huis clos.
Jude Law revient parfois au théâtre, comme en 2009 où il a joué Hamlet à Londres puis à Broadway.
En 2010 il joue Watson dans Sherlock Holmes, avec Robert Downey Jr. dans le rôle-titre. Le film remporte suffisamment de succès pour qu’une suite soit mise en route.
En 2011, il est membre du jury des longs métrages présidé par Robert De Niro lors du Festival de Cannes.
En 2016, il joue le rôle de Lenny Belardo (Pie XIII), un jeune pape qui bouscule le système du Vatican dans la série The Young Pope, diffusée sur HBO et Canal+.
En 2017, il obtient le rôle du roi Vortigern dans Le Roi Arthur : La Légende d'Excalibur, aux côtés de Charlie Hunnam.

LE PUY NOTRE DAME

DEUX PONOTS CELEBRES

Pierre Quétineau

Général républicain de l'armée des côtes de La Rochelle lors de la guerre de Vendée , mort guillotiné le 16 mars 1794 à Paris, est né le 25 août 1756 au Puy-Notre-Dame
Il entre en service le 4 juillet 1772, comme soldat au régiment de Champagne-infanterie, et il obtient son congé le 4 juillet 1781.
Il est élu le 6 octobre 1791, capitaine des grenadiers lors de la création du 1er bataillon des volontaires des Deux-Sèvres.
En 1792, il est attaché à l’état-major de l’armée du Nord, à la demande de Dumouriez, général des armées de la République.
Nommé général de brigade en mars 1793, commandant en Vendée, au moment du soulèvement de 1793 ; il est battu par La Rochejaquelein le 13 avril à la bataille des Aubiers.
Attaqué par des forces supérieures dans la ville de Bressuire dont les murs tombaient en ruine, il fait retraite sur Thouars ; le 5 mai les Vendéens prennent la ville d'assaut lors de la bataille de Thouars. Le général Quétineau capitule avec 3 000 hommes.

Remis en liberté avec ses soldats contre le serment de ne plus combattre les royalistes, il regagne Saumur où il est accusé de trahison et mis aux arrêts.
Cependant, le 9 juin, Saumur est prise à son tour par l'armée catholique et royale lors de la bataille de Saumur. Délivré par les Vendéens, Quétineau refuse cependant la proposition des généraux royalistes de rejoindre leur cause.
En vain les généraux lui démontrèrent que la Convention ne lui pardonnerait pas sa défaite, en vain ils essayèrent de le retenir ; Pierre Quétineau remis en liberté est de nouveau arrêté.
Il est jugé par le Tribunal révolutionnaire, condamné à mort et guillotiné le 16 mars 1794. Il avait épousé Jeanne Robert Latreille qui comparut au procès de Jacques René Hébert et des Hébertistes, elle aussi guillotinée en 1794.

Le père Epagneul

Né le 21 juillet 1904 au Puy-Notre-Dame (Maine-et-Loire), mort le 8 octobre 1997 à Paris (XVIe arr.)
prêtre du diocèse de Paris (1930-1935), dominicain, fondateur des Frères missionnaires des campagnes (1943).
Dans "Semailles en Terre de France", le Père Épagneul évoque son enfance et son cheminement avant 1943 :
"... En Anjou, le Puy Notre-Dame... J’y suis né dans une maison voisine de l’église...
Mon père exerçait un commerce de quincaillerie, auquel il avait ajouté quelques autres activités qui n’étaient pas sans rapport avec la richesse du Puy Notre-Dame comme d’une partie de l’Anjou : le vin."
Vu sur Wikipédia
Fils de petits commerçants qui exploitaient aussi un vignoble dans la vallée du Layon, Michel Épagneul grandit entre un père athée et une mère profondément chrétienne.
À l’issue de ses études faites à l’institution Saint-Louis de Saumur, à Saint-Maurille d’Angers et au collège Grand-Lebrun des Marianistes de Bordeaux-Caudéran (Gironde), il voulut s’orienter vers la prêtrise.
Mais, son père, contrarié par sa vocation, lui demanda de faire d’abord son service militaire.
Il entra donc deux ans plus tard (1925) au séminaire de Saint-Sulpice à Issy-les-Moulineaux (Seine, Hauts-de-Seine) et fut ordonné prêtre en 1930 pour le diocèse de Paris. Il accepta la proposition de son archevêque, le cardinal Verdier, qui l’envoya comme économe et professeur au séminaire des vocations tardives de Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux (Seine-et-Marne). Il n’y resta que cinq ans car, désirant depuis longtemps être religieux, il rejoignit en 1935 le noviciat des Frères prêcheurs à Amiens, puis, l’année suivante, le couvent du Saulchoir en Belgique pour poursuivre ses études qu’il termina en 1939. Assigné au couvent d’Étiolles (Seine-et-Oise, Essonne), il devait faire partie d’une équipe de pères destinés à l’apostolat rural lorsqu’il fut mobilisé et consigné successivement en Gironde, dans la Drôme, puis à la citadelle de Bonifacio en Corse. Ayant regagné son couvent après sa démobilisation, il s’engagea à lutter contre la déchristianisation qu’il avait découverte entre 1930 et 1935 dans le diocèse de Meaux.
Michel Épagneul fit ses premières missions dans des petits villages de la plaine de Meaux. Ce travail missionnaire, qui exigeait des contacts personnels et suivis avec les curés locaux et des méthodes d’apostolat nouvelles comme des conférences dans des cafés ou le recours au cinéma, à la presse ou encore la constitution de groupes d’Action catholique spécialisée, demandait de savoir gagner la confiance des ruraux et de multiplier les rencontres. Ce fut dans cette perspective qu’il accepta, en février 1942, d’assumer les fonctions d’aumônier diocésain de la Jeunesse agricole catholique (JAC) pour renforcer les liens qu’il avait créés et en structurer d’autres.
Pendant trois ans, le père Épagneul plaça ses espoirs de renouveau missionnaire dans une implication conséquente de l’Ordre des Prêcheurs. Il obtint, à partir d’octobre 1941, d’être secondé par Jean Maurice* qu’il entraîna rapidement sur le terrain pour l’initier aux différents aspects de l’apostolat rural en puisant dans le vivier des « frères étudiants » du Saulchoir pour se faire aider. Ces frères « astreints au service rural » durant leurs vacances travaillaient, dans la perspective d’un témoignage de présence, dans les fermes, animaient des réunions, des messes ou des séances de catéchisme. Malgré tout, ces efforts lui semblèrent très en deçà de la tâche à accomplir.

Devant les difficultés à obtenir de l’Ordre du renfort pour mener son apostolat, il conçut, au cours d’une retraite qu’il fit en janvier 1943, le projet de fonder un institut missionnaire destiné aux campagnes déchristianisées et qu’il appellerait les Frères missionnaires des campagnes (FMC). La congrégation fut officiellement fondée le 3 octobre 1943 et implanta son premier prieuré à La Houssaye-en-Brie (Seine-et-Marne). Michel Épagneul en fut le prieur et dut assurer avec ses FMC la charge des paroisses de La Houssaye (le père Épagneul en devint le curé, le 28 avril 1944), de Crèvecœur et des Chapelles-Bourbon.

La nouvelle fondation prit son essor, notamment en encourageant une présidente nationale de la JACF, Ghislaine Aubé, qui sera « la première sÅ“ur missionnaire des campagnes » (décision prise en février 1944), à créer la branche féminine des FMC. Les FMC et leurs auxiliaires, les SÅ“urs des campagnes, virent leurs effectifs augmenter rapidement. Les FMC étaient 50 en 1947, 60 en 1949 (deux tiers de Frères prêtres, un tiers de Frères auxiliaires), 121 en 1959 et 135 en 1962 répartis en onze prieurés.

Leur mission consistait à vivre dans des prieurés considérés comme de solides ancrages dans des secteurs à partir desquels les FMC pouvaient mener leur apostolat rural. Chargés de plusieurs paroisses, ils exerçaient toutes formes d’apostolat complémentaires de la charge paroissiale, assuraient diverses prédications, animaient des aumôneries d’Action catholique rurale, etc. Tous les Frères travaillaient manuellement. Le travail était pensé comme une valeur apostolique car il facilitait les contacts, il s’agissait de « faire corps avec le monde rural » et d’affirmer un apostolat de présence selon le temps dont les Frères disposaient, les besoins du prieuré, les exigences de l’entraide au village et de l’Action catholique.

Si le projet de Michel Épagneul était avant tout religieux, il reposait néanmoins sur une conception du social qui se refusait à analyser le monde rural comme un espace dont la marginalisation serait inéluctable. Il contribua, par l’insertion de sa fondation, à maintenir une animation sociale et religieuse de certaines campagnes françaises menacées de désertification. Il s’efforça de créer des solidarités à l’échelle des communautés villageoises sans forcément recourir aux organisations syndicales, à la différence d’autres missionnaires comme les prêtres-ouvriers qui choisirent d’être au cœur des aspirations du mouvement ouvrier.

En 1961, l’élection d’un nouveau prieur, Léon Taverdet, marqua une nouvelle étape dans la vie de Michel Épagneul. Il quitta La Houssaye-en-Brie d’abord pour le presbytère, puis le prieuré Notre-Dame de Bethléem des Sœurs des campagnes à Lombreuil (Loiret). En 1981, il se retira dans un petit prieuré destiné aux frères âgés à Luzillé (Indre-et-Loire), mais sa santé s’altérant, il fut pris en charge par les Petites sœurs des pauvres jusqu’à sa mort.



La tombe du Père Epagneul au cimetière communal
Au bout et à gauche de la première allée en entrant

La rue de la Collégiale

J'ai eu l'occasion de rencontrer hier Monsieur Desnouhes, notre ancien épicier, qui demeure toujours rue de la Collégiale
Vice doyen en âge de la commune, il a bon pied, bon œil et la tête n'a pas du tout vieilli
Passionné de généalogie pour laquelle il recherche des heures entières sur son ordinateur, il est sans aucun doute une mémoire vivante de la commune
En lisant sur mon blog l'article sur les commerçants de la rue de la Collégiale, il a tenu à me donner des précisions qui m'ont permis de compléter par quelques oublis que j'ignorais
J'ai donc complété mes quelques lignes dont je vous donne connaissance
Merci à Monsieur Desnouhes et gardons le le plus longtemps possible afin qu'il puisse nous livrer pendant de longues années encore de nombreux renseignements dont lui seul a le secret



Une superbe photo historique

Un document exceptionnel que je croyais avoir perdu
Je l'ai retrouvé, mêlé dans un dossier
Il s'agit de la rue de la Collégiale, non goudronnée
On retrouve les glycines qui confirment que cette fleur était bien plantée à l'époque dans toutes les rues
Une remorque agricole devant la maison de Monsieur Moreau
Dans cette rue, on comptait après la guerre en descendant de l'église sur le côté droit:
Un garagiste (Monsieur Poiraud), à l'emplacement de l'ancienne poste où exerce le médecin, la boucherie de Monsieur et Madame Amand Chiron, la boulangerie de Monsieur et Madame Lemonnier, un tailleur, Monsieur Soulard à l'emplacement de la maison abattue, un forgeron Monsieur Gautier, (maison Corvez, photographe ensuite), un boulanger Monsieur Janvier. Monsieur Desvignes lui succédera avant de lui-même céder à Emmanuel Brosseau pendant trois ans. Cette boulangerie sera rachetée par trois boulangers Messieurs Georget et Lemeunier du Puy Notre Dame et Raymond Couaillier du Vaudelnay à condition que le four soit détruit pour supprimer une concurrence
En continuant un menuisier (Monsieur Levot), où se trouve le mur du parking, une épicerie (Monsieur Cady et ensuite Monsieur Desnouhes), une seconde épicerie (Madame Pouponneau), une troisième épicerie (Monsieur Guillou) et un garagiste (Monsieur Mary, puis Mr Poirier) en face du bar les Variétés
Côté gauche un notaire (Monsieur Monnier), une banque et à la place de Monsieur Lhommeau, une couturière/coiffeuse, Madame Ida Fardeau .
Quand Madame Ida Fardeau née Lamoureux s'arrêta, Monsieur Capel commencera sa cordonnerie avant de se transférer rue Notre Dame
Pour terminer le bar de Madame Legout (Le Variété aujourd'hui)
Le parking du Prieuré n'existait pas
Il a été réalisé avec le mur en moellon et la plaque "Parking du Prieuré" en 1991 par Eric Deschamps
Il existait alors une cour commune (avec une couturière Madame Cantet) et de nombreuses maisons aujourd'hui abattues
On accédait par un porche (photo du dessous) qui a été remonté et restauré au Domaine du Moulin Biguet

Pour compléter les commerçants de ce quartier, en prolongeant rue Saint Denis, on trouvait le bourrelier Monsieur Bourdin et l'épicerie de Madame Michelet
A l'angle de la rue des Ducs d'Aquitaine et de la rue du Parc existait la menuiserie de Monsieur Gasté dont la fille Alice officiait sur l'harmonium de l'église
Cette menuiserie fut vendue à Georges Houet et a été remplacée en partie par le Crédit Agricole



Une anecdote :

Bernard Poiraud, le garagiste, avait une Peugeot 203 immatriculée 1 A 49